prêt bancaire
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L’obligation pour le juge de soulever d’office le caractère abusif d’une clause invoquée par une partie au litige
- Par jurisactuubs
- Le 22/01/2024
- Dans Droit de la consommation
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Article publié le 11 février 2019
Dans un arrêt rendu le 10 octobre 2018, la première chambre civile de la Cour de cassation a affirmé que le juge était soumis à une obligation de relever d’office le caractère abusif d’une clause qui est invoquée par une des parties au litige.
En l’espèce, la Banque de Tahiti avait consenti à un particulier un prêt immobilier pour un montant total de 30 000 000 francs CFP, lequel était remboursable en deux-cent quarante mensualités. Ce prêt était également assorti d’un cautionnement et avait pour finalité de financer la construction de la résidence principale du particulier.
Cependant, la banque constate une inexactitude dans la déclaration de son client. En vertu de l’article 9 de ses conditions générales relatif à ce cas, elle réclame le paiement anticipé des deux-cent quarante mensualités. Subrogée dans les droits de la banque, c’est la caution qui assigne le consommateur en paiement.
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Vente immobilière : la défaillance de la condition suspensive de prêt
- Par jurisactuubs
- Le 22/01/2024
- Dans Droit des contrats
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Article publié le 17 février 2021
Par un arrêt du 14 janvier 2021[1], la troisième chambre civile de la Cour de cassation s’est prononcée sur la défaillance de la condition suspensive de prêt.